Dans Gaza meurtrie, le cri des âmes pleure,
Bombardements cruels, une douleur qui demeure.
Tels des buts marqués, un jeu déraisonné,
Le ballon jeté, l'humanité bafouée.
Les civils en détresse, dans l'ombre du malheur,
Innocents piégés, un destin sans lueur.
Écoles en ruine, hôpitaux déchirés,
Les familles en fuite, vivent l'effroi par milliers.
Les blessés, les enfants, victimes de l'horreur,
Payant un lourd tribut, c'est un cri de cœur.
Comme un jeu truqué, ces attaques démesurées,
À l'éthique bafouée, notre humanité outragée.
Dans Gaza, les civils sont bombardés sans répit,
Comme des buts insensés, un jeu meurtrier qui sévit.
Israël lance des assauts, la violence sans merci,
Telle une main qui frappe, un acte impromptu, infini.
Le ballon de la haine, l'humanité le subit,
Des vies écrasées, un tableau bien maudit.
Des écoles en décombres, un triste paradis,
Les familles en exode, un cri dans l'infini.
Dans cette violence, l'injustice se précise,
Les civils sans défense, c'est la vie qui se brise.
Comme le ballon joué à la main, sans surprise,
C'est une règle transgressée, une humanité en crise.
Il est temps que le monde dise "Ça suffit, fini !"
Protéger les civils, c'est notre devoir aguerri.
Les responsables jugés, devant le juste jury,
Marquer la paix et la justice, c'est notre cri.
Gaza et le football, deux mondes si éloignés,
L'inacceptable violence, notre humanité bafouée.
Nous devons agir, la paix réinstaurée,
Pour que le respect des droits soit notre réalité.
Mustapha STAMBOULI
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