Dans un monde idéal, où l'échange d'idées est encouragé et la participation citoyenne célébrée, notre article "Monastir, Renaissance Citoyenne !" aurait été accueilli à bras ouverts. Malheureusement, il semble que certains esprits réfractaires préfèrent le recul à l'avancement. Notre tentative sincère de mettre en lumière les défis et de proposer des solutions a été étouffée dans l'œuf par un acte de censure, illustrant ainsi le triste état d'esprit qui persiste dans certains cercles monastiriens.
La censure de notre article par un groupe intitulé " A monsieur le Gouverneur de Monastir"se prétendant être une tribune pour le dialogue et le progrès est plus qu'une simple déception, c'est un reflet de l'archaïsme qui persiste dans certaines mentalités locales. Monsieur le Gouverneur de Monastir, nous vous avions adressé notre appel à la mobilisation citoyenne, mais visiblement, le message dérange. La résistance au changement s'exprime parfois par le mutisme imposé.
Le refus de publier notre article est un véritable scandale, un ballet bien orchestré entre l'obscurité du silence et le déni de la démocratie participative. Un article qui appelait à l'action collective, à la revitalisation de la ville, a été écarté sans même lui accorder le bénéfice d'une lecture attentive. C'est là une ironie triste : la censure d'un texte parlant de renaissance citoyenne.
Face à cette situation, nous choisissons de répondre par la moquerie, car rien ne déstabilise davantage l'obscurantisme que le rire. Nous nous interrogeons sur la fragilité des idées qui craignent un simple article. Monastir, ville de culture et d'histoire, mérite mieux que des cercles qui tournent en rond et étouffent la voix du progrès.
La censure de notre article est un pas en arrière, mais nous restons déterminés à faire avancer Monastir d'une manière ou d'une autre. Les rires moqueurs s'élèvent contre ceux qui tentent d'éteindre la lumière de la libre expression. Ainsi, la renaissance citoyenne que nous prônons doit continuer, avec ou sans la bénédiction de ceux qui préfèrent l'obscurité. Monastir, nous croyons en toi, même si certains semblent avoir peur de ce que tu pourrais devenir...
Mustapha STAMBOULI
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