La situation actuelle dans notre pays est des plus préoccupantes, avec une économie au bord de la catastrophe financière. La célèbre expression "La nature a horreur du vide" prend un sens particulier dans ce contexte, soulignant l'urgence d'agir pour éviter des conséquences sociales irréparables. Face à cette crise, il est impératif d'adopter une approche stratégique pour sortir de cette impasse.
Notre pays ne peut plus se permettre de compter uniquement sur des solutions internes pour résoudre cette crise économique. Ainsi, une collaboration franche et équitable avec les Institutions de Bretton Woods est devenue une nécessité pressante. L'accès au Club de Paris et éventuellement au Club de Londres représente une opportunité cruciale pour rééchelonner nos dettes extérieures et obtenir des fonds nécessaires sur les marchés financiers internationaux. Ces fonds pourraient être alloués à des investissements essentiels pour la revitalisation de nos infrastructures délabrées, notamment dans la rénovation du réseau routier et des barrages.
Cependant, il est clair que le pouvoir en place doit agir rapidement. En l'absence d'une volonté politique de mettre en œuvre ces mesures, il est impératif que ceux qui dirigent actuellement cèdent la place à des patriotes compétents. Ces derniers seraient en mesure de redresser les finances de l'État et de mettre en œuvre un programme d'investissement visant à garantir la pérennité de nos infrastructures tout en stimulant la croissance économique et le pouvoir d'achat de la population.
En conclusion, la stratégie de prise de pouvoir du président Kais Saied doit être repensée. La diminution du soutien populaire et celui des capitales étrangères, indique la nécessité d'une révision urgente de sa démarche. Face à une économie en crise, imposer un état de fait non constitutionnel semble de plus en plus difficile. Les appels à la dissolution immédiate de l'ARP et à l'organisation d'élections parlementaires dans les trois mois à venir sont des signaux forts. Il est crucial que le président Saied considère cette option comme la seule issue possible pour éviter une destitution imminente.
Mustapha STAMBOULI
Notre pays ne peut plus se permettre de compter uniquement sur des solutions internes pour résoudre cette crise économique. Ainsi, une collaboration franche et équitable avec les Institutions de Bretton Woods est devenue une nécessité pressante. L'accès au Club de Paris et éventuellement au Club de Londres représente une opportunité cruciale pour rééchelonner nos dettes extérieures et obtenir des fonds nécessaires sur les marchés financiers internationaux. Ces fonds pourraient être alloués à des investissements essentiels pour la revitalisation de nos infrastructures délabrées, notamment dans la rénovation du réseau routier et des barrages.
Cependant, il est clair que le pouvoir en place doit agir rapidement. En l'absence d'une volonté politique de mettre en œuvre ces mesures, il est impératif que ceux qui dirigent actuellement cèdent la place à des patriotes compétents. Ces derniers seraient en mesure de redresser les finances de l'État et de mettre en œuvre un programme d'investissement visant à garantir la pérennité de nos infrastructures tout en stimulant la croissance économique et le pouvoir d'achat de la population.
En conclusion, la stratégie de prise de pouvoir du président Kais Saied doit être repensée. La diminution du soutien populaire et celui des capitales étrangères, indique la nécessité d'une révision urgente de sa démarche. Face à une économie en crise, imposer un état de fait non constitutionnel semble de plus en plus difficile. Les appels à la dissolution immédiate de l'ARP et à l'organisation d'élections parlementaires dans les trois mois à venir sont des signaux forts. Il est crucial que le président Saied considère cette option comme la seule issue possible pour éviter une destitution imminente.
Mustapha STAMBOULI
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