La date fatidique du 22
octobre 2012 devise les spécialistes en droit constitutionnel, les hommes
politiques et le peuple tunisien. Chacun tente de convaincre le camp inverse de
son interprétation, forcément partisane. Il y a-t-il un malentendu ou de la
mauvaise foi de part et d’autre ? Peut-on réellement diverger sur une question
aussi simple, et évidente ?