La date fatidique du 22
octobre 2012 devise les spécialistes en droit constitutionnel, les hommes
politiques et le peuple tunisien. Chacun tente de convaincre le camp inverse de
son interprétation, forcément partisane. Il y a-t-il un malentendu ou de la
mauvaise foi de part et d’autre ? Peut-on réellement diverger sur une question
aussi simple, et évidente ?
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24 septembre 2012
18 septembre 2012
Dans l’intérêt national, activons le plan B !
Le drame du vendredi noir marquera pour longtemps les esprits et les mémoires des Tunisiens. Cet évènement met à nu la fragilité de la Tunisie. Une première dans
notre histoire contemporaine qu’une ambassade étrangère d’un pays ami soit
attaquée avec une telle violence et une telle haine par des barbares.
Les barbus ont franchi un
nouveau palier de rancœur. Ces actes horribles dénotent que ces énergumènes
sont des incultes et ennemis de la modernité.
14 septembre 2012
Le peuple déclare Abbou PNG, persona non grata !
Saint-Just n'a-t-il pas justement dit : "Tous les arts ont produit des merveilles. L’art de gouverner n’a produit que des monstres."
Sur les ondes de Shams FM, Mohamed Abbou, un élu du CPR à la Constituante, a déclaré, à plusieurs reprises : « Celui qui descendra dans la rue le 24 octobre, et qui exprimera son intention de renverser le pouvoir par la violence, je suis navré de le dire, mais il sera passible de la peine de mort, selon les dispositions de l’article 72 du code pénal » et ajouta « Celui qui parle de fin de légitimité le 23 octobre, souhaite que le pays sombre dans le chaos et l’anarchie». En d’autres termes, tous ceux qui s’aventureront à sortir pour manifester et appeler le 23 octobre prochain au départ des constituants et de l’exécutif sont passibles de peine de mort.
13 août 2012
Echec et fin de la transition : une Conférence Nationale s’impose impérativement et urgemment !
Béji Caïd Essebsi, ancien premier ministre de la première
transition et président du parti bourguibien, Nidaa Tounès, martèle, à juste
titre, à longueur de journée que le décret ayant appelé les citoyens aux
élections de la Constituante a précisé la durée des travaux de cette dernière et
l’avait fixé à un an, à partir de la date des élections.Autrement dit, la
Constituante cesse d’exister à partir du 23 octobre prochain ! Que
Faire ? C’est l’objet de cet article qui va tenter d’établir un bref état
des lieux et une proposition détaillée pouvant éviter le blocage
institutionnel !
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