Le drame du vendredi noir marquera pour longtemps les esprits et les mémoires des Tunisiens. Cet évènement met à nu la fragilité de la Tunisie. Une première dans
notre histoire contemporaine qu’une ambassade étrangère d’un pays ami soit
attaquée avec une telle violence et une telle haine par des barbares.
Les barbus ont franchi un
nouveau palier de rancœur. Ces actes horribles dénotent que ces énergumènes
sont des incultes et ennemis de la modernité.